omeus une conception personnelle de la littérature qu'on peut contester, qui n'est en rien universitaire, où je dis : voilà qui je suis et d'où je parle. Les gens per?oivent cette démarche d'honnêteté."Quête de sens et d'intelligibilité, besoin de repères pour combattre la fragmentation des connaissances,sac longchamp pliage, autant de raisons souvent évoquées par ceux qui se donnent pour t?che de diffuser les savoirs auprès du plus grand nombre."Beaucoup de gens nous ont demandé : pourquoi un Kit du XXIe siècle, alors qu'il existe Wikipedia ? Or ce site est génial pour des sujets qu'on ma?trise bien mais ?a coince dès qu'on s'intéresse au boson de Higgs", explique Fran?ois Reynaert, chroniqueur au Nouvel Observateur et coauteur avec l'historien d'art Vincent Brocvielle de ce Nouveau manuel de culture générale (son sous-titre), publié aux éditions JC Lattès. Chapitré sur le modèle d'un mémento offert jadis aux titulaires du certificat d'études, il fait réviser les fondamentaux en fran?ais, calcul, instruction civique et ouvre le champ à Twitter, l'Union européenne, la crise des subprimes, l'empreinte carbone, le G 20, la cuisine moléculaire, la dette souveraine, le streaming, Harry Potter, Millenium, etc. Sorti mi-novembre, cet ouvrage dédié aux ma?tres d'école s'est vendu à 30 000 exemplaires en un mois et demi. Obsédé, lui, par la pédagogie, se sentant investi d'une "mission" civique, Fran?ois Reynaert, fils d'enseignants, se souvient d'une formule prononcée par son instituteur, quarante ans plus t?t : "Il ne faut pas avoir honte de ne pas comprendre,burberry pas cher. Il faut être fier de vouloir apprendre."Opposés dans leur démarche, Dantzig et Reynaert sont d'accord sur deux points : leur souci de transmission et l'attachement viscéral des Fran?ais à la culture. "On vit dans un monde dominé par des gens qui font les malins, souligne Fran?ois Reynart. C'est flagrant en politique. A la télé, Alain Minc se pavane et nous ressort un discours sur la BCE et la crise de l'euro comme quelque chose d'entendu alors qu'il l'a appris la veille à un d?ner." Dans Nos ancêtres les Gaulois et autres fadaises (Fayard, 2010), Reynaert avait choisi de dépoussiérer l'histoire de France de toute vision nationaliste. Une synthèse simple et lisible, débarrassée de ce qu'il appelle les "pirouettes et numéros de claquettes" de ses chroniques. Cette fois, l'humour n'est qu'un auxiliaire. L'ouvrage de 600 pages s'est vendu à 200 000 exemplaires (format poche compris)."SAVOIR, C'EST SE SOUVENIR"Pas étonnant donc de retrouver le journaliste au c?té du dessinateur Gotlieb, des cinéastes Bertrand Tavernier et Robert Guédiguian,lacoste femme, du philosophe Denis Kambouchner parmi les 25 personnalités interrogées dans le premier numéro de L'Eléphant, sorti en kiosques le 24 janvier. "La culture générale et l'éducation contribueront à sauver le monde", tel est le credo de cette revue trimestrielle. Une ambition qui peut para?tre désuète, expliquent les fondateurs Jean-Paul Arif, de la maison d'édition Scrineo, et Related articles:

• sac longchamps soldes Soudan
• sac longchamps soldes W9
• chemise Burberry travaillé

没有了 下一篇： polo lacoste homme nous révèle qu’Alexandre Sanguinetti